- EAN13
- 9782081411265
- Éditeur
- Flammarion
- Date de publication
- 06/09/2017
- Collection
- Champs
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
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Papier - Flammarion 12,00
En culture comme en politique, l’échelle européenne est un effort autant qu’un
accomplissement. C’est pourtant bien à cette échelle que cette « brève
histoire » entend se situer – avec un récit fait d’éveils nationaux,
d’industrialisations, d’urbanisations, d’assemblées délibérantes, de
journalistes, d’artistes et d’intellectuels, de culture de masse, de systèmes
éducatifs et de droits de la personne. En treize chapitres vigoureux,
Emmanuelle Loyer fait tourner le kaléidoscope européen, du milieu du XIXe
siècle à nos jours, saisissant pratiques et représentations dans leurs
différentes inscriptions spatiales et sociales, dans leur hybridation entre
l’ancien et le nouveau. En filigrane, une réflexion sur la fragilité de la
culture européenne : il n’y a pas une culture européenne qui viendrait
justifier un destin commun, mais des cultures qui se croisent et se
nourrissent, engendrant la sédimentation que nous connaissons aujourd’hui.
Retracé avec une grande liberté, cet itinéraire permet d’imaginer, pour nous
autres, Modernes tardifs du XXIe siècle, un rapport peut-être plus heureux à
notre présent.
accomplissement. C’est pourtant bien à cette échelle que cette « brève
histoire » entend se situer – avec un récit fait d’éveils nationaux,
d’industrialisations, d’urbanisations, d’assemblées délibérantes, de
journalistes, d’artistes et d’intellectuels, de culture de masse, de systèmes
éducatifs et de droits de la personne. En treize chapitres vigoureux,
Emmanuelle Loyer fait tourner le kaléidoscope européen, du milieu du XIXe
siècle à nos jours, saisissant pratiques et représentations dans leurs
différentes inscriptions spatiales et sociales, dans leur hybridation entre
l’ancien et le nouveau. En filigrane, une réflexion sur la fragilité de la
culture européenne : il n’y a pas une culture européenne qui viendrait
justifier un destin commun, mais des cultures qui se croisent et se
nourrissent, engendrant la sédimentation que nous connaissons aujourd’hui.
Retracé avec une grande liberté, cet itinéraire permet d’imaginer, pour nous
autres, Modernes tardifs du XXIe siècle, un rapport peut-être plus heureux à
notre présent.
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